ÉVALUATION DES INITIATIVES A RÉSULTATS RAPIDES : LA CONAC LANCE LA 10ème SÉRIE



 Lancer par Révèrent Docteur Dieudonné Massi Ngams représenté par le vice-président du CONSEIL NATIONAL ANTI-CORRUPTION (CONAC), cette cérémonie s’est tenue en présence des administrations membres, en son siège sis au palais des congrès de Yaoundé.

Le menu était plein chargé ce jour lors de l’évaluation des Initiatives à Résultats Rapides en présence des Responsables des Administrations membres. Il était question d’évaluer les avancés significatives de lutte contre la corruption sachant que les objectifs fixer il y’a 100 jours étaient de réduire à 60% ce fléau dans les départements les plus corrompus de nos administrations. Ils étaient 08 au total qui ont participés à cet évaluation dont le MINSANTE, le MINFOP, MINAC, MINAS, MINEE, MINCOMMERCE, MINFOPRA ET MINTP
Selon le vice-président reprenant du Révèrent DR Dieudonné Massi Gams président de la CONAC dans son discours d’ouverture dit : « il est question de m’adresser à vous en qualité du représentant personnel du président du conseil national anti-corruption. Alors, nous considérons que nous sommes à la 10ème phase des initiatives à Résultat Rapide(IRR) et c’est le lieu d’évaluer les obstacles et les résultats obtenus après 100 jours de ce projet lancé le 04 Avril dernier, nous devons présenter les avancées des missions qui nous ont été assignées.
 Les avancés perceptible de lutte contre la corruption son palpable de jour en jour de manière progressive.
C’est n’est pas une formalité mais c’est important cette rencontre afin de mener à bien la lutte contre la corruption dans notre pays car, celle-ci est un frein pour l’émergence 2035.
Nous entrons dans les services publics pour servir et non pour être servi alors c’est une mission de vocation et il faudra le dire, la fonction publique n’est pas faite pour nous enrichir mais surtout pour donner aisance à la vie des citoyens de notre pays.
Cette lutte est un moyen de donner de la chance à notre progéniture qui est le Cameroun de demain ». Depuis son opérationnalisation en 2008, la CONAC apporté d’énormes avancés dans la situation des services et administrations publique de nôtres pays. C’est alors les IRR et les autres actions mené par la CONAC sans toutefois passer du regard, la main mise de tout un chacun pour le développement du Cameroun ».
Dans leurs différentes présentations, les Inspecteurs Généraux coordonnateurs de ces différentes missions ont fait preuve de progrès dans l’implémentation des résolutions stratégiques de lutte contre ce fléau selon les problématiques poser par chacun.
Mais le regard de notre rédaction a été braquer sur le ministère de la santé qui, de manière presque parfaite ont convaincu l’auditoire de leur grand progrès sur deux défis qui sont l’augmentation des recettes et l’amélioration de la prise en charge des patients qui sont les problèmes majeurs les hôpitaux du Cameroun et surtout ceux de 4ème catégoris. Pour justifier cela, la coordonnatrice de présentation des équipes du Minsanté dans l’interview accordé à notre rédaction, donne des statistiques de l’augmentation de plus de 60% de progrès dans la gestion des recettes des hôpitaux et une grande amélioration dans la prises en charge des patients. A titre d’illustration nous pouvons citer cas du centre hospitalier de Biyem Assi et l’hôpital de district de la cité-verte. Qui ont bien évidemment évoluer dans ce sens. Mais la question reste toujours de savoir que dit le terrain ? La réponse à cette question reste le but du sujet à venir dans notre enquête prochaine sur la question des IRR au Cameroun.
Hulerie Marcel Onana B

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